Sujet: Confidence pour confidence Mar 2 Aoû - 12:59
Ciaran & Lula
❛Je me fous, fous de vous, vous m'aimez mais pas moi, moi je vous voulais mais confidence pour confidence c'est moi que j'aime à travers vous. Mais aimez-moi à genoux j'en suis fou mais de vous à moi, je vous avoue que je peux vivre sans vous. Aimez-moi à genoux j'en suis fou Et si ça vous fait peur dites-vous que sans moi vous n'êtes rien du tout. ❜
Encore une magnifique journée au camp Kikiwaka. Le soleil brillait haut dans le ciel, réchauffant les cœurs et dénudant les corps. La plupart des vacanciers étaient au lac à la recherche d'un peu de fraîcheur et d'amusement. Mais Lula manquait à l'appel. Et oui aujourd'hui la jolie blonde n'était pas monitrice, elle était en congé et elle comptait bien profiter de cette journée de liberté. Emportant son âme d'aventurière et sa curiosité jamais assouvie elle s'était lancée dans une grande mission d'exploration en solitaire. Comme tout le monde ici elle avait entendu parler du célèbre Kikiwaka, ce mélange étrange entre le BigFoot et Chewbacca qui se cacherait au fin fond de la caverne près du camp. Une créature mystérieuse que personne n'a jamais réussi à voir? Il n'en fallait pas plus à la jeune femme pour s'improviser enquêtrice du Dimanche.
Comme à son habitude elle était partie sur un coup de tête sans prévenir personne. Elle était comme ça Lula, un vrai courant d'air virevoltant au gré de ses envies. Elle ne réussissait jamais à rester au même endroit bien longtemps, papillonnant avec insouciance où le vent l'emportait tout en brûlant sa jeunesse par les deux bouts. La vie ne valait le coup d'être vécue qu'à travers les aventures qui la pimentaient, petites ou grandes. Du moins c'était ce qu'elle pensait. Voilà pourquoi elle se trouvait à présent dans la caverne du Kikiwaka avec une lampe torche, une bouteille d'eau et une jupe pas vraiment adaptée.
On ne pouvait pas vraiment la qualifier de superstitieuse mais bizarrement elle ressentait comme une petite appréhension depuis qu'elle était entrée dans la grotte. Était-ce l'ambiance inquiétante qui régnait en ces lieux ou la désagréable impression qu'elle avait de ne pas être seule? Pas vraiment à l'aise elle préféra s'assurer qu'aucun monstre ne la suivait pour lui croquer une oreille. "Qui est là?! Allez c'est plus drôle là!" Elle était tout de même prête à cavaler comme un lapin au besoin. Courageuse mais pas téméraire la marmotte.
Sujet: Re: Confidence pour confidence Mar 2 Aoû - 14:31
confidence pour confidence
Lula & Ciaran
Rythmes des pieds qui battent le sol avec violence, les jambes s'agitent avec véhémence sur un territoire encore vierge. Ça court vite ça galope dans les fourrées verdoyantes. Comme s'il ne faisait pas assez chaud comme ça... mais faut que l'autre s'excite en voulant faire ses foulées, faut que l'autre s’excite en faisant cette activité à laquelle tu ne saurais échapper. Le sport pire qu'une passion une véritable addiction. C'est ce qui guide tes pas et un bien trop grand nombre de tes gestes. Ça explique aussi le fait que tu ne sois pas là-bas comme les autres à profiter de ce que pouvait bien leur donner le lac, un peu de fraîcheur et d'amusement, une belle odeur de vacance bien enivrante. Tu ne manquerais sûrement pas d'y aller à ton retour quand t'aurais besoin d'un peu de réconfort. Tu vagabondes dix minutes entre les arbres gardant une allure régulière jusqu'à ce que t'aperçoives la blonde, une lionne que tu tiens en laisse grâce à ta langue qui tourne, tu ne cesses de lui rappeler son fardeau, tu ne cesses de lui rappeler ses fautes qui l’asservissent à tes humeurs. Ça te rappelle un trésor qui s'échappe de ses mains par le biais de tes mots, une victoire volée qui déclenche bien vite une guerre sans pitié. Tu ne peux pas t’empêcher de la suivre non, tu résistes peut-être au chant du lac mais pas à celui des sirènes ou des nymphes qui rôdent. Quelques instants qui s'écoulent et te voilà dans une grotte, tu l'as suit à l’abri dans les ombres là où la lumière se perd. Mais là voilà qui lève la voix, devinant que quelqu'un la guette. T'aurais bien aimé la faire criser, mais tu savais que ta seule présence sur ses traces lui causerait cet effet. Tu te dévoiles, tu sors de l'obscur pour enfin t’exposer, t'as les mains en l'air, comme pour dire que t'étais pris au piège, pourtant un sourire espiègle trônent sur tes lèvres. « C'est moi » tu lâches ça dans un éclat qui résonne. « Qu'est-ce que tu fais ici ? T'as l'habitude de venir ici pour... ?» tu laisses la phrase en suspend pour la finir en mouvement, tu mîmes l'action de fumer t'es sûr qu'elle comprendra ce que tu voulais bien dire. La brise qui souffle, courant d'air au milieu de l'antre de pierre, un corps qui frisonne parce que trop dénudé, la faute au sport et la sueur qui s'envole. « Tu devrais faire gaffe, tu pourras tomber sur un véritable monstre, ma jolie » t'as l'audace de lui sortir, tout était bon pour la voir sortir de ses gonds.
Accueil 
Rythmes des pieds qui battent le sol avec violence, les jambes s'agitent avec véhémence sur un territoire encore vierge. Ça court vite ça galope dans les fourrées verdoyantes. Comme s'il ne faisait pas assez chaud comme ça... mais faut que l'autre s'excite en voulant faire ses foulées, faut que l'autre s’excite en faisant cette activité à laquelle tu ne saurais échapper. Le sport pire qu'une passion une véritable addiction. C'est ce qui guide tes pas et un bien trop grand nombre de tes gestes. Ça explique aussi le fait que tu ne sois pas là-bas comme les autres à profiter de ce que pouvait bien leur donner le lac, un peu de fraîcheur et d'amusement, une belle odeur de vacance bien enivrante. Tu ne manquerais sûrement pas d'y aller à ton retour quand t'aurais besoin d'un peu de réconfort. Tu vagabondes dix minutes entre les arbres gardant une allure régulière jusqu'à ce que t'aperçoives la blonde, une lionne que tu tiens en laisse grâce à ta langue qui tourne, tu ne cesses de lui rappeler son fardeau, tu ne cesses de lui rappeler ses fautes qui l’asservissent à tes humeurs. Ça te rappelle un trésor qui s'échappe de ses mains par le biais de tes mots, une victoire volée qui déclenche bien vite une guerre sans pitié. Tu ne peux pas t’empêcher de la suivre non, tu résistes peut-être au chant du lac mais pas à celui des sirènes ou des nymphes qui rôdent. Quelques instants qui s'écoulent et te voilà dans une grotte, tu l'as suit à l’abri dans les ombres là où la lumière se perd. Mais là voilà qui lève la voix, devinant que quelqu'un la guette. T'aurais bien aimé la faire criser, mais tu savais que ta seule présence sur ses traces lui causerait cet effet. Tu te dévoiles, tu sors de l'obscur pour enfin t’exposer, t'as les mains en l'air, comme pour dire que t'étais pris au piège, pourtant un sourire espiègle trônent sur tes lèvres. « C'est moi » tu lâches ça dans un éclat qui résonne. « Qu'est-ce que tu fais ici ? T'as l'habitude de venir ici pour... ?» tu laisses la phrase en suspend pour la finir en mouvement, tu mîmes l'action de fumer t'es sûr qu'elle comprendra ce que tu voulais bien dire. La brise qui souffle, courant d'air au milieu de l'antre de pierre, un corps qui frisonne parce que trop dénudé, la faute au sport et la sueur qui s'envole. « Tu devrais faire gaffe, tu pourras tomber sur un véritable monstre, ma jolie » t'as l'audace de lui sortir, tout était bon pour la voir sortir de ses gonds.